Le collectif est là pour nous permettre de gravir des sommets, soulever des montagnes.
Julie Moutonnet-Parfait est arrivée chez ENGIE il y a 21 ans et a ensuite exercé plusieurs métiers, toujours dans le secteur de la relation clients. Elle est aujourd’hui Chef de projet Facturation à la Direction Grand Public.
Elle a récemment été la cheville ouvrière chez ENGIE de l’initiative « 3919 » qui vise à faire connaître au plus grand nombre le numéro « Violences Femmes info »*
Mon métier consiste à gérer, créer et piloter des projets autour de la facture pour répondre aux besoins de nos clients. Ma direction est vraiment opérationnelle avec de forts objectifs liés à la satisfaction clients, mais aussi à l’environnement. Par exemple, en 2021, nous avons mené un gros travail pour relooker complètement notre facture, la rendre plus claire et plus compréhensible, et avec un objectif de digitalisation pour que nos clients aient accès à une facture en ligne partout et tout le temps. C’est bon à la fois pour l’environnement (moins d’arbres coupés) et c’est une facilité pour nos clients, par exemple pour gérer leurs démarches administratives.
Donc, la facture est au centre de nos attentions !
Le numéro 3919 est le numéro d’appel « Info violences » Depuis fin janvier et pour un an il apparait sur nos factures ENGIE.
Tout est parti d’une demande du gouvernement à plusieurs entreprises. ENGIE, par l’intermédiaire de notre président, monsieur Jean-Pierre Clamadieu, a répondu présent pour afficher ce numéro sur nos factures.
Avec 8 millions de foyers clients, ENGIE dispose en effet d'un levier important pour atteindre et sensibiliser le plus grand nombre sur la question des violences faites aux femmes. Le numéro 3919 reste trop méconnu, surtout du public qui en a le plus besoin, puisque les femmes victimes de violences conjugales peuvent être plus isolées socialement que les autres.
Nous avons été mis en en relation avec le cabinet d’Elisabeth Moreno, qui nous a donné des directives assez simples. Il fallait vraiment que le logo 3919 soit mis en avant, l’objectif étant qu’il soit connu et reconnu de tous. Dans ce contexte, notre objectif était de lui trouver une place bien visible sur nos factures qui sont déjà bien remplies.
Nous avons fait le choix de l’insérer dans le bloc « Information et droits », que ce soit sur la facture papier ou la facture en ligne qui sont identiques.
Mon objectif dans ce projet était que ce numéro soit connu du plus grand nombre mais aussi de nos collaborateurs chez ENGIE.
Non, bien sûr ! Sur un projet, quel qu'il soit, on n'est pas tout seul. Nous avons travaillé en coordination avec les équipes SI. Mon rôle était un peu celui d’un chef d'orchestre, j'aime dire que je suis créatrice d'ambiance pour que nos projets arrivent à terme et soient menés aussi rapidement que possible et conformément à nos besoins et à nos objectifs.
L'objectif était que ce soit mis en place en tout début d'année. Il a fallu réfléchir où placer le logo, ensuite il y a eu la partie développement et enfin, ce que nous appelons les vérifications, une phase de recette pour vérifier que cet ajout ne provoque pas de régressions.
Sans nos équipes SI, nous n’aurions rien pu faire. Nous avons réussi à travailler très rapidement : l’expression du besoin s’est faite en décembre, on a recetté en janvier pour que ce soit en production fin janvier.
Les premières factures comportant le logo sont parties dès le 25 janvier.
C’est encore trop tôt pour avoir les retours de nos clients. Tous les mois, nous collectons les verbatim de nos clients sur le thème de la facture, nous allons donc les suivre avec attention pour voir quelles sont les réactions.
Chez ENGIE, nous avons déjà des retours très positifs des collaborateurs sur cette initiative.
Je pense que de plus en plus nous sommes sensibilisés à la nécessité de travailler pour un monde meilleur. L'environnement, le tri sélectif sont pour moi des basiques et je crois aussi qu’être parents renforce ce besoin de faire quelque chose, affûte notre sensibilité vis-à-vis des gestes du quotidien.
Dans ma famille, nous sommes très sensibles au zéro déchet, aux circuits courts. C’est notre façon de participer.
Je crois en la force du collectif, que ce soit professionnellement ou dans ma vie personnelle.
Même si ça parait banal de le dire, le collectif est là pour nous permettre de gravir des sommets, soulever des montagnes. Dans une direction opérationnelle comme celle où je travaille, le collectif est primordial. Sans le collectif, nous n'arriverions pas à atteindre nos objectifs. Et de manière plus globale et personnelle, je reste convaincue que le collectif peut changer le monde, au niveau de l'environnement, au niveau des mentalités, au niveau de l'éducation.
C’est collectivement qu’on y arrivera et qu’on parviendra à vivre ensemble.
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