Il y a une richesse incroyable d’expertises au sein du groupe ENGIE, et on ne connaît souvent que la partie émergée de l’iceberg.
Je travaille dans le Groupe ENGIE depuis sept ans et je suis Project Manager chez Laborelec depuis deux ans et demi.
J’ai une formation d’ingénieur mécanicien avec orientation en énergie, une formation que j’ai suivi à Louvain-la-Neuve. En tant que Project Manager, j’ai la chance de pouvoir toucher à des sujets très différents sans devoir rentrer dans les détails techniques (même si c’est parfois requis).
J’ai commencé chez ENGIE par un programme Young Graduate dans la BU ENGIE Benelux, qui regroupait à l’époque Electrabel, Cofely, Fabricom et Axima. Ma première mission chez Cofely m’a beaucoup plu : on était proches du terrain, des techniciens, proche du client et on comprenait vraiment ce qu’on faisait. Ensuite, j’ai évolué vers Sun4Business, une petite entité au sein d’ENGIE, comme développeur solaire.
J’ai rejoint Laborelec pour revenir à des sujets plus techniques, et le côté international m’a beaucoup attiré. Aujourd’hui, je travaille dans deux équipes chez Laborelec : Solaire et Hybride & FLEX.
Dans l’équipe solaire, je gère des projets innovants comme les panneaux photovoltaïques ultra légers. C’est un domaine en pleine effervescence, avec un potentiel énorme. Notre mission est d’identifier les solutions les plus prometteuses et de réduire les risques associés à la jeunesse des technologies.
Dans l’équipe Hybride & FLEX, on explore la flexibilité des centrales renouvelables en combinant différentes technologies. Je touche à des sujets variés : services ancillaires, contrôle de parcs hybrides solaires/éoliens…
Ce qui me décrit le mieux ? Je suis curieux, passionné par de nombreux sujets, avec toujours une volonté d’apprendre de nouvelles choses.
Cylergie travaille sur l’efficacité énergétique des bâtiments et les réseaux de chaleur, des sujets que je ne traite pas au quotidien. C’est justement ce qui m’a motivé : je voulais découvrir autre chose, voir comment ça fonctionne ailleurs. Je connaissais vaguement leurs activités, mais je voulais les comprendre plus concrètement. Et comme ces thématiques font écho à mes études et à ma première expérience professionnelle, ça m’a donné envie d’y aller.
Ce qui m’a frappé en premier, c’est la taille humaine de Cylergie. C’est une petite structure comparée à Laborelec, où nous sommes 400. J’ai retrouvé cette ambiance que j’aimais chez Sun4Business. C’était très agréable.
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais j’ai été agréablement surpris. J’ai retrouvé des sujets que j’avais abordés pendant mes études et chez Cofely, comme les salles blanches ou les sujets liés à l’efficacité énergétique. Ce que j’ai appris sur les réseaux de chaleur m’a aussi rappelé mes cours avec, bien sûr, des avancées technologiques importantes. Il y avait un petit côté nostalgique !
J’ai aussi mieux compris leur fonctionnement, très différent de celui de Laborelec. Ils développent leur offre de services, un domaine où Laborelec a de l’expérience, donc ils étaient curieux d’avoir mon retour. J’ai pu échanger avec eux sur plusieurs sujets, notamment le solaire thermique. C’était un échange très riche.
Oui, tout était nouveau pour moi. Je ne connaissais pas bien Cylergie avant. Maintenant, je sais ce qu’ils font, j’ai rencontré des personnes passionnées, noué des contacts. J’ai aussi découvert qu’ils collaborent avec des collègues de Laborelec que je côtoie tous les jours !
Oui, j’ai réalisé qu’il n’y a pas une seule façon de fonctionner. Par exemple, ils m’ont parlé de chaufferies hybrides, où l’on ajoute une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse à une installation existante. Cela nécessite une régulation fine, ce qui fait écho aux centrales renouvelables hybrides sur lesquelles je travaille. Il y a des similarités intéressantes.
Pas encore directement, mais je sais que ces contacts seront précieux. Si je travaille un jour sur des projets liés à la biomasse ou aux réseaux de chaleur, je saurai à qui m’adresser.
Absolument. C’est quelque chose qu’il faut encourager. Il y a une richesse incroyable d’expertises au sein du groupe ENGIE, et on ne connaît souvent que la partie émergée de l’iceberg. Même au sein de Laborelec, il y a plein de choses que j’ignore. Sortir de sa zone de confort pour aller voir ailleurs, c’est essentiel.
Je serais intéressé par les acquisitions et le développement de nouveaux business. J’adore la dynamique des petites structures, qui peut se perdre quand elles grandissent. J’irais volontiers explorer ce côté-là, comme les projets de la Factory à Singapour. Et je continuerais à aller vers l’inconnu : plus j’apprends, plus je suis heureux.
N’ayez pas peur de sortir de votre zone de confort pour découvrir de nouvelles choses. C’est une occasion en or !
Un grand merci à toutes les personnes qui m’ont accueilli si chaleureusement : Jérémie, Maxence, Martial, Angel, Mathilde, Arnat, Gaël, Arnaud… Merci à tous, c’était une super expérience.
